Les femmes ont tant de cheveux qu’elles n’en sont jamais satisfaites. Trop longs, trop courts ; trop raides, trop frisés, trop foncés, trop pâles… Les miens apprennent tout seuls à grandir pour mieux voir le dessus de mes pensées et de mes regards. D’ailleurs, c’est eux qui m’ont dit qu’un regard, c’était déjà une pensée. Et ils m’ont averti que je devais me calmer.
Drus, plantés comme des poils de prairie normande, je crois qu’ils te feront plaisir.
Alors que les épaules servaient de refuge et d’amer, les cheveux jouent les espiègles, les coquins. Penser aussi haut que son cul, une autre invitation au voyage…
les tifs de la touffe
j’aime les cheveux, ils ont une forte connotation symbolique depuis Kerouac!